Mother of Tears - La troisième mère

Mother of Tears - La troisième mère

COMMENTAIRES

Mother of tears est un ratage complet avec une réalisation en roue libre. Les décors, les acteurs et les costumes ainsi que la photo sont de bonne facture pourtant mais Argento nous a pondu un téléfilm sans intrigue, sans de réelles scènes , pas de montage , pas de tension ... alors que les scènes gore et choquantes s enchaînent , c est incompréhensible. Étant fan du maestro dans sa période de 1970 à 2001 sauf opéra et le syndrome stendhal que je déteste, je suis très déçu de voir clore la trilogie de cette façon là. Un téléfilm gore et souvent ridicule qui ne fait jamais le job. Un de ses pires films , dommage

Les films de Dario Argento sont souvent fraîchement accueillis à leur sortie par la presse spécialisée et leur public, avant d'être revus et réévalués des années voire des décennies plus tard. Un phénomène critique que l'on a constaté depuis...PHENOMENA, ce petit bijou de 1985 et qui a perduré ensuite avec OPERA, TRAUMA, LE SYNDROME DE STENDHAL, etc. On peut donc supposer que le très clivant LA TERZA MADRE/MOTHER OF TEARS de 2007 trouve(ra) à l'avenir ses nouveaux défenseurs car si le film est loin d'être parfait en raison de son rythme frénétique et de son budget pas tout à fait à la hauteur de son ambition, il n'en reste pas moins un film fantastique divertissant, personnel et généreux. Argento s'éloigne avec courage du style flamboyant de SUSPIRIA et INFERNO pour nous proposer une sorte de documentaire/miroir de notre époque, avec la ville de Rome soumise à toutes sortes de violences quotidiennes et tristement banales: infanticides, viols, exécutions de policiers et prêtres, églises incendiées, etc. Une vision misanthrope, dénuée de magie, qui rappelle celle de John Carpenter dans L'ANTRE DE LA FOLIE. On retrouve également les obsessions habituelles d'Argento: les assassinats cruels et graphiques (ceux de Coralina Cataldi Tassoni, de Valeria Cavalli et sa compagne sont particulièrement mémorables), l'architecture, les arts sous toutes leurs formes (les peintures d'apocalypse des génériques, les scènes se déroulant dans le musée et la librairie, les appartements remplis de livres et le flash back inattendu sous forme de fumetti/BD) Un film inégal, parfois foutraque, mais qui a des idées, jamais ennuyeux et dont l'énergie créatrice est palpable.

meilleurs que les 2 premier.pas mal 3/5

Le pire film de la trilogie

Oh que non, Dario Argento n'a rien perdu de son talent; on retrouve les caractéristiques qui ont fait de lui un grand maître du cinéma : les mouvements de caméra (ah cette plongée dans les couloirs), les décors baroques, les couleurs avec la prédominance du bleu et du rouge, les animaux maléfiques (ici des singes alors que dans Opéra, il utilisait des corbeaux pour une scène d'anthologie), les symboles, les costumes et maquillages (très particulièrement ceux de la sorcière asiatique), la musique signée par Simonetti. Superbe., et 4,5/5

Bon ba on sent quand même qu'il y a eu 27 ans entre ce film et l'opus précédent et que Dario Argento a perdu de sa superbe . Franchement où est le psychédélisme, où sont les magnifique distorsion de l'image qui faisait le sel de Suspiria et Inferno, où sont les décors magnifique qui était certes en carton - mais dieu c'était de l'art - et surtout où sont les couleurs ? Dario Argento ce véritable magicien de la pellicule a semble t-il perdu ses pouvoirs magique .
Alors certes certaines scène particulièrement bien gore et nue viennent quand même sauvé in extremis ce film de la noyade, l'histoire globale est bonne avec cette sorcière qui se réveille et qui vient semé le chaos dans une capitale européenne, d'ailleurs j'aurais voulu bien plus de scène sanglante dans les rues de Rome . En outre la musique de Simonetti est sublime quoique un peu sous-exploité par rapport au deux autres opus .
Mais bon cela n’empêche pas que je me serait crue dans la Neuvième portes que dans un film d'Argento et puis c'est terrible mais ce film fait limite téléfilm à la sauvette, les apparition de Suzi m'ont même fait penser à Josephine Ange gardien .
Mais bon même si Dario Argento a loupé une marche sur la fin de cette trilogie il n'en demeure pas moins que j'ai adoré découvrir ce génial réalisateurs par le biais de ces Trois Mères . Suspiria et Inferno resteront gravé sur ma rétines et dans mes oreilles pendant pas mal de temps et il me tarde de découvrir le reste de la filmographie de ce génie notamment Phénomena, les Frissons de l'Angoisse et sa trilogie des animaux, je découvrirai en même temps le cinéma giallo . En attendant je vais digéré cette trilogie des Trois Mères en réécoutant volontiers les musiques .
Et je terminerai en disant : Merci Monsieur Argento !

Dieu que c'est mauvais.
Argento ou le roi du non subtil.

Un scénario bancale et bourré d’incohérences! Une direction d’acteur approximative, des longueurs...bref on est loin des chefs d’œuvres que sont « Suspiria » et « Inferno ».
Reste quelques scènes gore sympathique et la présence d’Udo Kier comme dernier réconfort de ce risible épisode de l’histoire des trois mères

Mother Of Tears résonne à merveille sur les hurlements black metal de Craddle of Filth, titre éponyme du groupe, dont on sent curieusement l'influence; toute cette violence, ce sang, je dirais même, cette barbarie. Inutile cela dit en passant, car le scenario ne nécessitait pas spécialement d’effusion de sang. Néanmoins, la boucherie est très inégalement répartie sur la durée du film. Des longueurs et des incohérences viennent s'immiscer en parasitage nauséabond. Si l'idée de départ avait un potentiel certain en s'adonnant aux sciences occultes, au satanisme et à la numérologie, l'ensemble est tout bonnement ennuyeux, et surtout, incompréhensible. Résultat, on en perd le nord, le sud, et malheureusement le moindre intérêt à poursuivre cette chasse aux sorcières démoniaques. Si l'on passe en revue la médiocrité des acteurs et du script, on se retrouve face à un film d'épouvante relativement bas de gamme, qui ne touche aucun point sensible, si ce n'est celui du sommeil. Un bon compromit au somnifère ceci-dit. 2/5

jeff costello avait vu "suspiria",jeff costello avait vu "inferno",jeff costello pensait que "phenomena" était le troisième mais non, il hâte de voir "mothers of tears", pour boucler la boucle

tres décevant de la part de Argento, un scenario bizar et glauque et gratuitement bourrin, le film a plus tendance a nous fair penser a une oeuvre de son alter-ego du cinema d'horreur italien, Lucio Fulci. avec bien moin de classe ! a s'abstenir a part pour les fan de films gore insenssés !

moi je le trouve tres bien , et bien angoissant, hier soir j ai regardé suspiria qui m' a beaucoup rire, au meme titre que démons, j pense que mother of tears c'est un peu le suspiria etc...des années 2000. on arrete un peu avec la niouw wawe of cinema italien des 70es les decors magnifiques, beaucoup de coulerus criardes le son qui 10 fois plus violents que le texte des acteurs, pour conclure ca lui a fait bcp de bien à sieur argento le les annees 2000, tout ce qui lui manqué dirais je, mais ce n est que mon avis

Moins sublime que ''Suspiria'' ou ''Ténèbres'' mais pas moins brillant, ''Mother of Tears'' clot la trilogie en beauté et prouve que le talent de cinéaste de Dario Argento n'a pas flanché. Un interdiction aux moins de 16 ans aurait été plus convenable qu'un simple avertissement, car certaines scènes sont d'une violence proche de la barbarie. 4,5/5

Grosse déception. Le film démarrait pourtant bien...