Dans la catégorie suite dispensable, Ecole paternelle 2 se pose là. Un schéma plus ou moins identique à son prédécesseur. Celui où deux pères de famille au chaumage se lançaient dans la gestion à plein temps d'une garderie. Après plusieurs années, ils décident d’étendre leur activité en investissant dans un camp de vacance en déclin financier. Une quantité dantesque de travail et de gestion, toujours avec aussi peu de connaissance. La suite est donc prévisible et se décline sous une avalanche de pitreries et de gags loufoques qui n'ont d'objectif que d'amuser la galerie d'un public jeune. Et ça marche, bien qu'une certaine redondance se fasse ressentir. Eddie Murphy n'aura pas signé pour ce 2ème opus, de peur sans doute de franchir une barrière humiliante du ridicule. Barrière dont Cuba Gooding Jr. se moque, puisqu'il reprend le flambeau sans que cela ne choque. Mais cela reste du cinéma très enfantin, pour ne pas dire simpliste. La relation père/fils y est mise en avant pour l'esprit de cohésion familiale, et on se marre se vraiment se poser de question. Distrayant. 3/5
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Les critiques sont trop dures. Il s'agit d'une comédie pas d'une insulte envers les parents, mais c'est du n'importe quoi vos critiques de merdes...
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Dans la catégorie suite dispensable, Ecole paternelle 2 se pose là. Un schéma plus ou moins identique à son prédécesseur. Celui où deux pères de famille au chaumage se lançaient dans la gestion à plein temps d'une garderie. Après plusieurs années, ils décident d’étendre leur activité en investissant dans un camp de vacance en déclin financier. Une quantité dantesque de travail et de gestion, toujours avec aussi peu de connaissance. La suite est donc prévisible et se décline sous une avalanche de pitreries et de gags loufoques qui n'ont d'objectif que d'amuser la galerie d'un public jeune. Et ça marche, bien qu'une certaine redondance se fasse ressentir. Eddie Murphy n'aura pas signé pour ce 2ème opus, de peur sans doute de franchir une barrière humiliante du ridicule. Barrière dont Cuba Gooding Jr. se moque, puisqu'il reprend le flambeau sans que cela ne choque. Mais cela reste du cinéma très enfantin, pour ne pas dire simpliste. La relation père/fils y est mise en avant pour l'esprit de cohésion familiale, et on se marre se vraiment se poser de question. Distrayant. 3/5