JohnWick.Stream

C'est Drôle sa resemble beaucoup au film Détour Mortelle j'ai l'impression qu'ils ont voulu faire pareil bref c'est un bon film même si il et presque identique a Détour Mortelle 20/20

Stag-Night est un film d'horreur rythmé et intense du début à la fin, la scène d'introduction résume d'ailleurs parfaitement le film de Peter Dowling. L'ambiance sombre du métro New-Yorkais est assez crade et bien représentée, les effets spéciaux se veulent aussi très réalistes, tout comme le maquillage et l'attitude de nos fous furieux. Les scènes de gores ne sont pas nombreuses, elles sont pour le moins suffisantes et très réussies.
Les points négatifs maintenant :acteurs passables, histoire et personnages pas assez développés, caméra tremblante sur les scènes d'actions de type "série B" et surtout des effets sonores très énervants à la longue.
En résumé, Stag-Night est un bon film d'horreur dynamique qui nous fait passer un bon moment, sans plus...
PS : Je viens de voir "Stag-Night" deux jours après avoir regarder dans le même genre "Creep", et bizarrement les deux ont pratiquement la même note...

Note : 3/5

intrigue sans aucune originalité, scenario lamentable, jeu des acteurs plus que mauvais (surtout la blonde, qui fait rire plutôt que pitié quand elle hurle). Fuyez !

Scénariste de Flight Plan, Peter A. Dowling écrit et réalise ce Stag Night. Le genre de survival archi vu et revu qui concentre son attention sur le lieu des sévices (ici le métro New-Yorkais) et quelques séquences gores plutôt réussies. Mais Dowling ne paraît à aucun moment vouloir faire montre d'originalité et se complaît dans une histoire bancale, pleine d'incohérences. Son Stag Night est une bobine qui se laisse voir, bien sûr, mais que l'on peut éviter sans avoir l'impression de rater quelque chose.

Mike, Tony, Joe et Carl passent une soirée ensemble pour enterrer la vie de garçon de l'un d'entre eux. Ils se font virer du pub où ils s'étaient posés et décident de rejoindre un autre lieu pour terminer cet instant de fête en apothéose. Ils empruntent donc le métro et là débute le drame....

Avec sa phrase introductive, '10 000 personnes disparaissent dans les rues de NY (...), les adultes ne sont jamais recherchés', Stag Night annonce la couleur. Et puis la première séquence assez bien rythmée et montée peut laisser croire qu'on va mater un survival de qualité. Pas de chance, à mesure que le récit défile devant nos yeux (entre les incohérences, les décisions inexcusables 'Nous on reste ici, on vous attend' ou encore un frère tête à claque qui agit comme un répulsif), la pellicule de Dowling tutoie, parfois, le vide. J'ajoute à cela un style particulièrement désagréable ici, pas de plans fixes, trop de tremblements à deux balles et des dialogues faibles. Et puis, la tension est mal rendue, on ne perçoit pas le stress. Enfin, les méchants vilains !! croisement entre des bushmen et des rednecks ne sont pas flippants, ils m'ont fait rire de dépit avec leurs grognements. Deux points positifs, la présence de Vinessa Shaw et un peu de violence graphique. C'est peu. 2/5

Euhhhhh.... c'est quoi l'histoire ?? Moi aussi je peux filmer des clodos et des bobos dans le métro...
....................0.

ça me fait penser aux films the descent , détour mortel .

film assez mauvais dans son ensemble (j'aime bien la scène avec le mec qui se fait bouffer par le chien et qui regarde la vidéo de son fils, plutôt réussi) sinon... 1,5/5 :(

Un ton en-dessous de "Creep" dans le pur style "survival". Déjà "Creep" n'est pas un chef d’œuvre et surtout mal exploité, ici, nous sommes plus dans le gore et le coté "inquiétant" de "Creep" n'est pas présent. Si vous souhaitez en sous-terrain, voir du très bon thriller, c'est "The Descent" qui est le must. Ici : 1.5/5 tout juste !!!

une pseudo copie de creep, si vous avez aimé l'ambiance du métro, je conseil largement creep qui est bien mieu

Points positifs : La réalisation, le jeu d'acteur (1er rôle seulement)

Points négatifs : QUASIMENT TOUS!!!!!!

Je partage le point de vue de dydy, bien qu'à mon sens, hormis le contexte souterrain, il n'y a là rien de comparable.
Les tueurs m'ont vaguement rappellé les homo-sapiens du nullissime "Humains" (made in france).
Big Navet under the city.

En regardant ce film, Creep est encore plus monté dans mon estime !