Les Amours Imaginaires

Les Amours Imaginaires

COMMENTAIRES

J'ai peut être surestimé Xavier Dolan.

Lorsque j'ai vue coup sur coup "Mommy" et "J'ai tué ma mère", je me disais que Dolan était vraiment très bon malgré son jeune âge. Les deux films étaient vraiment excellents.

Après, je suis allé voir "Ma vie avec John F. Donovan" ou la forme du film était très bonne mais le fond du film était creux. Ça restait quand même intéressant malgré le manque de ressenti de ma part pour ce film.

J'ai ensuite regardé "Juste la fin du monde" et malgré un film très peu clair, j'ai compris par la suite que ce film était entièrement basé sur des dialogues de non-dit et il y a eu des situations ou j'ai reconnu ma mère. La fin de ce film était également géniale, la tension qui grimpe et les derniers plans étaient fantastiques et pour moi la fin sauve le film.

Mais "Les Amours Imaginaires" n'est pas son meilleur film du tout. C'est le deuxième film qu'il réalise mais il n'a pas le niveau de "J'ai tué ma mère".

Y a pas une seconde ou je me suis impliqué dans ce que ressentaient les personnages, que ce soit Marie ou Francis. Déjà on ne connait pas grand chose d'eux excepté qu'ils ont tout les deux craqué sur Nico et c'est littéralement l'ensemble du film : Un des deux passe du temps avec Nico, ça rend l'autre jaloux et ça échange, et cetera, et cetera...

Surtout : J'ai compris pourquoi différents personnages, de temps à autre, témoignaient face cam, pour décrire une situation d'amour. Sauf que dans le film, c'est très mal placé et il n'y a aucun contexte.

Dans "J'ai tué ma mère", Dolan utilisait aussi le principe de face cam mais là c'était justifié, le personnage principal voulait parler de sa mère et tourner ça comme un documentaire et là ça semble crédible parce que des ados ont cette imagination poussée parfois.

Ici, non. On ne connait aucun de ses personnages et leurs scènes sont juste là pour remplir un peu le film.

Dolan est quand même un très bon réalisateur mais avec ce film j'ai la preuve de ce que je pensais après avoir vu "John F. Donovan". Ce réalisateur se concentre beaucoup trop sur la forme de ses films et parfois pas assez sur le fond.

2/5.

Du très bon , 4/5

Mais qu'a tu fais Dolan c'est pas possible s'il vous plait que quelqu'un m'explique qu'est ce qu'il y'a dans ce film d'intéressant ou de particulier sachant qu'il est ultra vide et pas de fin 1/5
http://lecinemaleplusmarqua...

C'est d'un splendide,d'une véracité que les plus de 30ans ne peuvent pas comprendre. Ce film respire la jeunesse. Merci, merci mille fois.

Après "Mommy" et "J'ai tué ma mère", je me suis attaqué à cet autre film de Dolan.
AOUCH ! J''avais déjà été déçu par les deux premiers films que j'ai vu de ce réalisateur mais là c'est le comble ! Je ne comprends pas plus l'engouement, l'acharnement des cinéphiles à citer Xavier Dolan comme un prodige du cinéma. Là ce film tombe dans l'absurde, les musiques s'enchaînent mal, le triangle amoureux est mal exploité, délaissé au profit d'un visuel à vomir et ferait passer celui de "Pearl Harbor" pour le trio du millénaire, le montage est encore plus mal fait que celui de "Mommy", les réactions, les actes des protagonistes n'ont aucune raison, aucun sens au niveau humain, la logique est absente, (la bagarre des deux amis, la mère de Nicolas qui rentre dans l'appartement et qui voit quelqu'un d'autre que son fils, aucun étonnement, aucune interrogation, etc, etc...) si bien que les personnages du film Rubber ont l'air plus cohérents et plus logiques que ceux des Amours Imaginaires. "Imaginaires", oui, pour les acteurs mais aussi pour le spectateur, car rien n'est développé. Les acteurs ne sont pas crédibles une seconde, ce n'est pas qu'ils jouent mal, c'est qu'ils ne sont pas naturels, pas en osmose avec le thème du film, ce film n'est pas représentatif d'une génération comme le disent certains, car on ne peut s'identifier à aucun personnage du trio. Xavier Dolan devrait faire attention à son montage et à sa manière de filmer en se mettant derrière la caméra et seulement derrière, car ici, en tant que réalisateur, il pond un film "semi-expérimental" qui reprend la forme d'un cinéma avant-gardiste très visuel et très sensoriel (un peu comme Terrence Malick) sans en reprendre les codes et la réflexion soulevée d'un tel style de cinéma, et l'oeuvre devient vite indigeste. En tant que comédien, il est aussi ennuyeux et aussi "tête à claques" que dans J'ai tué ma mère, insupportable, les deux autres protagonistes sont incohérents et font figures de statues marchant au ralenti et répétant une publicité anti-tabac (ou alors une pub pour des fringues vintage...).
Le long métrage est ennuyeux, barbant, sans intérêt.
Le fond maintenant, une amitié délaissée au profit d'un amour impossible certes, mais quoi ensuite ? Rebelote ? aucune leçon de morale, la fin est bâclée, mal fichue, transcrite sans virtuosité, comme si le cinéaste en avait ras la casquette et avait décidé de jeter à la benne une fin avec une moralité et pondre un final raté, sans vie, sans âme.
Bref 0.5/5, et encore, parce qu'il est impossible de noter ce film 0, car il n'y a rien, rien qui peut hisser ce film sur un piédestal et cela prouve qu'actuellement, les récompenses du festival de Cannes sont plus attribuées à des effets de mode au profit d'autres œuvres au mérite bien plus grand, car Dolan n'est pas un cinéaste qui cherche à faire passer un message ou engager une réflexion, ce n'est même pas un cinéaste qui possède un style, un univers, des codes bien à lui, Dolan est un effet de mode, tout simplement. Au moins dans Mommy, même si je n'ai pas du tout aimé l'oeuvre, il y avait une "âme", une trace d'un cinéaste, là, c'est vide, sans aura, c'est une coquille vide, une expérimentation ratée sans finalité, le film est sans vie. Le film est mort, fade, ce n'est pas une oeuvre d'art !

Bang Bang...

Franchement je pige pas cette hype absurde autour de Xavier Dolan, plus je regarde ses films plus je trouve ça stupide. C'est pas tous de mauvais films, mais comment peut-on s'enthousiasmer pour un film de bobo hipster faux et superficiel, qui plus est filmé avec le cul? Comment, sinon pour satisfaire un besoin malsain de branlette intellectuelle? Franchement, je pige pas.

Encore un grand film de monsieur de Dolan qui nous plonge dans un triangle amoureux original et palpitant.Il est facile de ressentir les sentiments des personnages ainsi que leurs espoirs grâce à la douceur des images ainsi que la force du "combat " entre les deux acteurs

Encore une fois les musiques sont parfaites et significatives

Je n’ai aucun doute sur la sincérité absolue de Nolan : il a transcrit à l’écran l’histoire
que j’ai exactement vécue pendant 14 ans (les histoires, plutôt, comme suggéré
à la fin du film). C’est dire ma fascination stupéfaite et massive à la
découverte de ces « Amours Imaginaires ». Cependant, comme dans la
vraie vie, mon ressenti a évolué.

Sur le moment, tout y est : l’esthétisme, la beauté chérie, voulue et
assumée. La romance, puis la force de la passion et son cortège d’émotions
aussi diverses (antagonistes, même) que puissantes. La sensibilité, les
différences de points de vue entre les personnages, résumées à la perfection en
efficaces ellipses. L’esprit, l’âme, les corps.
Passé quelques heures et quelques jours, car ce film m’a poursuivie plusieurs jours, a
émergé une sensation de malaise, comme dans la vraie vie où ces intenses
valeurs égocentrées de jeunesse se sont peu à peu transformées en sentiment de
vaines futilités un peu glauques, moralement peu saines, bref en écoeurement.

Toutefois, cela n’enlève rien au génie de ce jeune réalisateur prodige, lequel a recréé
ici avec un talent évident une ambiance bouleversante, qu’on peut presque toucher.

Juste magnifique, fantasmant, brutal, les couleurs et la bande son sont formidables, les acteurs sont juste parfait et il nous fait réfléchir à ce que peut provoquer l'amour dans l'amitié, c'est mon gros coup de cœur du moment, j'en suis amoureux !

Très belle bande son !

Confirmation brillante du talent et de l'audace de Xavier Dolan, Les Amours Imaginaires dresse un portrait saisissant et drôle des premiers émois amoureux. Entre fantasme et réalité, les amants de Dolan se percutent et s'affrontent avec toute la fougue de l'adolescence et l'intensité que seul l'amour peut provoquer.
Délicieux.

http://justaword.eklablog.c...

J'aime beaucoup Xavier Dolan... sauf sur ce film.
"J'ai tué ma mère" introduisait son monde, peut-être pas avec très grande subtilité, mais avec un point de vue assez éclairé sur les relations familiales un peu chelou. L'esthétisme appuyé était comme un exutoire à ce qui se passait réellement sous nos yeux: une forme d'inceste inavoué, et en sentant le vécu derrière cette trame, la beauté des plans, des cadrages, la jolie BO contrastait fortement avec le propos, et évitait au film de sombrer dans le pathos et l'égotisme à deux balles propre au ciné indie francophone, accentuant le conflit permanent qui porte le film du début à la quasi-toute fin.
Là, c'est vain. Les Amours Imaginaires, malgré un titre qui laissait entrevoir une déchirure entre les fantasmes et la réalité n'est finalement qu'un montage de ralentis, de couleurs fluo, de dialogues ciselés mais en lien avec rien, d'esthétisme qui ne supporte aucune vision pertinente sur le sujet ô combien universel que sont les véritables amours imaginaires. Là, même si on voit où Dolan veut en venir, c'est vain, je dirais même très mauvais. Alors, oui, jolie BO, jolis plans, dialogues marrants, etc. Mais quand il approche le coeur véritable de son sujet - le regard sur soi, Dolan s'enfuit en courant, préférant se retrancher derrière ses ralentis et ses jolis vêtements de soirée rouge vif, chaussures bien cirées.

quel film! bon ça allait, "Tom à la ferme" est le + saisissant de ceux que j'ai vus, "j'ai tué ma mère " vu en salles aussi et d'autres. un autre cinéma peu conventionnel, beaucoup de gays dans ses films, de la violence, un climat peu rassurant sur le ton du drame ou du thriller. des invertis etc.cinéma de Québec.

Très beau film !

Les Amours Imaginaires est un rêve éveillé.. La beauté des images, une bande son si bien choisie, Xavier Dolan a su nous transporter dans son monde avec beaucoup de poésie tout comme dans J'ai tué ma mère, mais ici la trame est différente, ce sont deux protagonistes et leurs regards sur l'amour qui racontent l'histoire, ils se déchirent, ils s'aiment, et la fin est tout simplement splendide.. Je crois que c'est ce genre de fraîcheur dont le cinéma a aujourd'hui besoin, un véritable conte moderne embarqué dans des songes d'amoureux.
5/5

Les Amours Imaginaires est une vraie oeuvre d'art. Le scénario est très loin des triangles amoureux mièvres que l'on trouve bien souvent. Ici le sujet est traité avec beaucoup de sensibilité et de finesse. L'esthétique du film est époustouflante et très moderne. Les personnages sont attachants et la bande son est agréable.

Excellent film. Pendant plus d'une heure et demi, Xavier Dolan guide d'une main de maître notre voyage dans son univers, où l'on découvre avec exultation un style nouveau et terriblement agréable. À travers une bande son magnifique, des plans réfléchis, une mises en scène sans faute et des acteurs plus que convaincants, il nous dépeint de façon habile le déchaînement des sentiments à travers la structure périlleuse qu'est le triangle amoureux, où alterne cohésion et antagonisme, désillusion et conviction..Un film original et très intelligent, confirmant une seconde fois (1°J'ai tué ma mère) le talent de son réalisateur. 5/5.

pour la photo, le son, la bande originale, le jeu des acteurs, et la réalisation. C'est frais et ça fait du bien.

Tout est bien dans ce film, la musique, les acteurs, l'histoire, l'esthétique !
La fin est superbe ! Xavier Dolan est vraiment talentueux !

Un peu moins bon que J'ai Tué Ma Mère, mais pas mal quand même. Les acteurs sont bons, la musique géniale, seul le scénario manque d'un petit quelque chose.

Il est fou ce film, la musique, les acteurs, les plans!
Vraiment magique, a voir.

+1 Spike7

Dans Les Amours Imaginaires , Xavier Dolan traite avec talent le triangle amoureux et les relations sentimentales . La réalisation est très stylisée , appuyée par des éclairages sophistiqués , et cela permet de sublimer les émotions , telles que la jalousie , la déception ou le désir , qui habitent ce film très sensuel . Les acteurs sont très bon et le lien avec le spectateur se crée dès les premières minutes . Le tout est de plus accompagné de musiques bien choisies et de grande qualité . Deuxième réalisation de Dolan , ce film est une bouffée d'air frais dans l'univers du cinéma francophone .

emmerdant à souhait, ce film est lent, chiant, chiant, et chiant... bref ! J'ai bien dormis sinon...

Ce film m'a fait comprendre à quel point j'étais moche interieurement et exterieurement.

une coquille vide de scénario camouflée derrière des filtres de couleur saturée, des personnages désincarnés, loin du profond "Jules et Jim" et du sulfureux "je t'aime,moi non plus".... du sous-Christophe Honoré prétentieux, bref, le vide abyssal ou la caféine reste le seul antidote pour ne pas sombrer avec ce film inutile !

Wong Kar Wai + Pedro Almodovar + François Ozon + Gus Van Sant + Ken Loach

Un film qui passe complètement à coté de son sujet, on n'accroche pas et le résultat reste médiocre

On fume vraiment beaucoup dans ce film. Le premier et le dernier ralentis, très appuyés, ont leur raison d'être, les autres beaucoup moins... Idem pour le tube "Bang bang" en v.o. italienne, il eût été préférable de placer une autre romance plutôt que d'en remettre une couche... C'est une histoire à l'intention des amoureux de l'amour, ces partenaires prêts pour le duel sans merci. Pour qui s'est sorti de ce genre d'impasse dans l'un et l'autre sens, un sourire béat pendant toute la séance. Joie de revisiter la niaiserie de la victime et la prétention des cibles en se disant "c'qu'on est-y bête !". Xavier Dolan situe bien l'aveu verbal, cette imprudence sans laquelle la parade durerait durerait... Un regard sans concession, très personnel, qui devrait faire hausser les épaules des durs, des costauds...

Drôle / frais une bonne partie (dans le jeu de la séduction), touchant une autre (quand le sentiment amoureux prend place dans l’œil du cyclone puis flirt avec), un peu space sur la fin… Un voyage imaginaire bien réel, à bord d’une barque-d’un avion très artistique, si je puis dire. Bref, j’ai beaucoup aimé.

Vous avez aimé Les amours imaginaires ? Votez pour lui dans le match qui l'oppose à Kaboom sur mon blog : http://chris666.blogs.alloc...

Les trois acteurs à Cannes, en mai dernier ([i]Paris Match[/i])
[img]http://photo.parismatch.com...[/img]

Avec “les amours imaginaires“, Xavier Dolan pouvait se planter méchamment puisque la thématique du trio amoureux est un genre ultra parcouru. Mais ce qui pouvait agacer dans son premier film se transforme ici en force. Sa fougue, sa spontanéité, son humour malicieux et le choix de ses interprètes (dont lui-même) font de cette comédie romantique une très belle réussite.

Avec sa même fraicheur, le jeune réalisateur tente de dresser une étude fine de l'amour impossible, à partir d'un vécu forcément réduit compte tenu de son âge, et c'est assez gonflé. Le film se centre sur ces situations où vous tombez amoureux d'une personne qui ne vous capte pas un instant et où vous devenez complètement obnubilé par un individu, qui devient l'unique intérêt de tout. Un amour aveugle qui aurait pu tourner au mélo mièvre ou au film auteuriste assommant si Xavier Dolan n'avait pas eu l'idée de montrer la vision homosexuelle et hétérosexuelle de la situation, pigmentée de beaucoup de tendresse et d'ironie. Il va même jusqu'à se lâcher dans des scenettes filmant des amis en train de discourir du sexe et de l'amour dans des tirades piquantes et drôles. Et puis Dolan veut montrer qu'il sait mettre en scène, utiliser des tas de procédés appris à l'école. C'est ce qu'on lui reprochait sur “J'ai tué ma mère“, d'être un peu trop nombriliste et maniéré. Quelle connerie ! Certes il aime Wong Kar Wai et ses ralentis ou même Greg Araki. Mais alors tous les réalisateurs un minimum exigeants mais qui n'inventent pas immédiatement un style propre seraient de simples poseurs. Le principe de l'art est souvent de s'inspirer des autres pour reconstruire son propre univers. Non, ici, Xavier Dolan emporte tous les spectateurs avec lui par cette allégorie des premières amours adolescentes et nous permet de sortir de la salle le sourire au coin des lèvres, complices de cette histoire simple, modeste et colorée.

Un ton et des répliques acerbes illustrent le jeu de séduction des deux amis pour conquérir le bellâtre, au risque que leur amitié en fasse le sacrifice. La cruauté de ne pas être aimé de l'autre donne lieu à de très belles scènes mélancoliques alternées d'éclats de rires dont la colorimétrie fait penser également parfois à Pedro Almodovar, grand spécialiste des amours complexes. La bande originale pop suit de manière fort classe le balancier d'espoir et de marasme que suivent les deux individus.

L'obsession amoureuse et la confusion entre fantasme et réalité est illustrée de manière épique en touchant du doigt le basculement vers le n'importe quoi pour conquérir l'autre. Pourquoi idéaliser à ce point un individu que l'on connait à peine, dont la préférence sexuelle n'est même pas identifiée? L'un des personnages des intermèdes comiques y répond à sa façon. Ce type de relation très adolescente repose sur le sentiment qu'être amoureux et conquérir l'autre est bien plus excitant au final que la vie de couple qui suit. Cette sensation de fièvre des sentiments n'est-elle pas aussi un simple reflet de nos propres égos. Une manière de se chercher une identité, de se rassurer sur ses propres possibilités. Tout du moins lorsque l'on a 20 ans…quoique…Ces amoureux cherchent d'ailleurs à séduire sur des apparences et très peu sur le fond, le relief, se caricaturant dans l'image des idoles de cinéma que leur bel éphèbe adule. Ils se grimeront ainsi en James Dean ou Audrey Hepburn, ce qui relève d'une technique de drague fort maladroite où l'individu accepte d'effacer son identité pour plaire. Comme quoi l'amour peut rendre très con, les personnages n'étant de toute évidence pas des décérébrés.

Les blessures du désir et de la déception amoureuse ont donc trouvé un bel écho chez notre petit québécois qui risque de devenir de plus en plus le chouchou des critiques tant sa rigueur de forme, de direction d'acteur, de scénario et de mise en scène semblent limpides et évidents.

[url]http://dante7.unblog.fr/[/url]

je l'ai enfin vu et j'ai adoré
j'ai trouvé que, plus qu'un triangle amoureux c'était un film qui parlé de la solitude
un très beau film

j' ai adoré! Si vous vous êtes jamais trompé sur les intentions ou l' orientation sexuielle d' une personne pour qui vous aviez plus que de l' affection... vous comprendrez!

arf
çà me rend dingue que ce film ne passe pas dans ma ville
va falloir prendre le train pour aller le voir alors

Toc toc toc. Tic tic tic.

Voilà à quoi ce résume cette mise-en-scène collage de bidules tendances: du toc et des tics.

Et: on n'en peut plus d'entendre "Bang Bang" dans les films gays! S'il-vous-plaît, pitié, arrêtez avec cette chanson!

Dolan meilleur réalisateur qu'acteur, mais qui réalise là encore un film de qualité ! Il est assurément plus que prometteur... pourvu qu'il ne s'égare pas!

[url]
http://cine-emotions.blog4e...[/url]

c'est pas faux, mais il est génial quand même quoi que moins bien que son précedent "j'ai tue ma mere"

en même temps y'a rien philosophique :lol:

Je viens de le voir, c'est un très beau film, la bande originale est somptueuse !!! Je ne suis pas trop film "philosophique" etc. mais la j'avoue que c'est un très bon moment, je vous le conseille.