Augustine

Augustine

COMMENTAIRES

Biopic plutôt intéressant mais qui traine en longueur tout de même ! Heureusement que le casting est excellent ! Vincent LIndon est fidèle à lui-même c'est à dire juste et émouvant et alors que dire de la jeune Soko ? Elle est juste bluffante et impressionnante dans ce film et ces deux magnifiques acteurs sauvent le film de l'ennui mortel.

Trés bon film, une histoire crédible au balbutiement du vaste territoire de la psychiatrie, un duo d'acteurs en symbiose, une mise en scène solide 3.5/5

j'ai bien aimé cette ambiance glauque le jeu des acteurs et ce manque de savoir
de la médecine. belle prestation de la jeune augustine.

je me suis ennuyé malgré la belle prestation de Vincent Lindon

Trop ennuyeux.

Dès les premières secondes, j'ai senti un ennui qui allait devenir incommensurable au fur et à mesure du film. J'ai arrêté rapidement. 1 demi-étoile.

J'ai vu ce film pour Lindon qui se trompe peu dans ses choix... dans ce "peu", il y a manifestement celui-là !
C'est médiocre, c'est copié, c'est mal joué, on comprend à peine ce qui est dit, l'histoire est totalement fausse.... Et ce culot d'utiliser la musique de Dracula de Coppola en 1ère musique du film....
Faudrait qu'on découvre comment cette Winocour a réussit à trouver les financements pour ce canular ! En tout cas, ce n'est pas peu dire sur le fonctionnement du cinéma français !

J'ai découvert un film où la médecine avait beaucoup trop de pouvoir et des fois dépassait les limites d'humanisme, hautin, prétentieux etc., etc., voilà un film basé sur l'étude d'hystérie de l'époque, où l'on mêlait un peu de tout comme patient. Lui Charcot chercheur présomptueux et grand maître devant ses sous-fifres et autres personnels, manière obscène de traiter des patientes, et convoitant la reconnaissance par ses pairs. Je l'ai visionné jusqu'au bout, car les films sur la médecine ancienne et leurs manières de la traiter ou tenter d'en découvrir la cause, mon toujours intrigué, mais ce film m'ont laissé un mal à l'aise dans sa conception des événements et l'indifférence des patientes qui étaient plus des cobayes qu'autres chose. Voilà mon opinion et elle ne vaut surtout pas plus de 3 étoiles sur 5.

Plus que la lourde introduction (ce crabe, ces verres de vin), c'est le fil entre Charcot et sa patiente, sous l'oeil de lynx de l'épouse (impeccable Chiara Mastroianni) qui captive. L'hypnose émane d'un spécialiste, pas de Charcot. On se croirait dans une arène avec spectateurs gourmands des débordements féminins. Le regard éhonté du médecin alors que la créature se fait applaudir dévoile l'essentiel (la démonstrative Stéphanie Sokolinski s'avère parfaite pour ce rôle). On peut dès lors savourer la mise en scène, éclairages (lumière quasi biblique sur le visage de Vincent Lindon), costumes d'époque (les affriolants dessous de coton blanc !), ne rien perdre des chuchotements ni des changements de place du mal, avancer dans l'intimité encore masquée d'Augustine et son sauveur, quoique de plus en plus copains sans le montrer. Une avancée médicale certaine à l'époque où l'hystérie féminine se diagnostiquait, silence sur le reste. La chute d'escalier a le mérite de relativiser la supposée guérison de la demoiselle. Surprise que l'affaire faite (soi dit en passant drôlement "à la hussarde" pour une cinéaste !), Augustine s'éloigne telle une souris qui aurait volé du gruyère. Les expressions des époux culminent à ce moment-là, dans le style échevelé de leurs...

Plus que la lourde introduction (ce crabe, ces verres de vin), c'est le fil entre Charcot et sa patiente, sous l'oeil de lynx de l'épouse (impeccable Chiara Mastroianni) qui captive. L'hypnose émane d'un spécialiste, pas de Charcot. On se croirait dans une arène avec spectateurs gourmands des débordements féminins. Le regard éhonté du médecin alors que la créature se fait applaudir dévoile l'essentiel (la démonstrative Stéphanie Sokolinski s'avère parfaite pour ce rôle). On peut dès lors savourer la mise en scène, éclairages (lumière quasi biblique sur le visage de Vincent Lindon), costumes d'époque (les affriolants dessous de coton blanc !), ne rien perdre des chuchotements ni des changements de place du mal, avancer dans l'intimité encore masquée d'Augustine et son sauveur, quoique de plus en plus copains sans le montrer. Une avancée médicale certaine à l'époque où l'hystérie féminine se diagnostiquait, silence sur le reste. La chute d'escalier a le mérite de relativiser la supposée guérison de la demoiselle. Surprise que l'affaire faite (soi dit en passant drôlement "à la hussarde" pour une cinéaste !), Augustine s'éloigne telle une souris qui aurait volé du gruyère. Les expressions des époux culminent à ce moment-là, dans le style échevelé de leurs soirées... Ce qui frappe chez Alice Winocour est le sens du détail.

Tout à fait d'accord avec Veganforanimalrights et j'ajouterai qu'entendre tout le temps la respiration d'Augustine énerve!

ça fait presque oh my god en moins drôle. l'hystérie de l'époque de Charcot, parodie, ça allait.

Soko est incroyable...


De même que Cronenberg faisait à ses débuts des films fantastiques qui cartonnaient en vidéoclub chez les teenagers et qui étaient en fait des oeuvres ultra personnelles et géniales, winocour fait semblant de faire un film historique sur Charcot et les débuts de la psychanalyse et livre un grand film d'auteur.

Un des meilleurs films français de 2012 selon moi. On en ressort impressionné par des scènes et des images extrêmement fortes dont on sait déjà qu'elle resteront longtemps.

A montrer à tout ceux qui pensent qu'on vit dans une époque de création molle (en tout cas en France et dans le jeune cinéma).

Magnifique film, très réussi.

De même que Cronenberg faisait à ses débuts des films fantastiques qui cartonnaient en vidéoclub chez les teenagers et qui étaient en fait des oeuvres ultra personnelles et géniales, winocour fait semblant de faire un film historique sur Charcot et les débuts de la psychanalyse et livre un grand film d'auteur qui restera.

Un des meilleurs films français de 2012 selon moi. On en ressort impressionné par des scènes et des images extrêmement fortes dont on sait déjà qu'elle resteront longtemps.

A montrer à tout ceux qui pensent qu'on vit dans une époque de création molle (en tout cas en France et dans le jeune cinéma).

Sans oublier la tenace confusion entre les intentions des personnages et celles de l'auteur. Mais on n'en est pas à une contradiction prés...

Quand on lit certains commentaires et certaines "critiques", on s'interroge...Animaux "maltraités" (doit-on rappeler aux spectateurs d'où vient la viande qu'ils mangent ?). Cigarette. Sexe. Névrose. Très malsain tout ça. Très cinématographique, surtout, comme critique. Et d'où vient ce mépris envers les petits films subventionnés par le CNC ?

Le Film Français dans toute sa splendeur : voyeur, malsain, sexiste - sous prétexte évidemment du contraire -, spéciste, mal joué, mal filmé. Et d'abord meurtrier : dame Winocour n'hésite pas à ébouillanter des crabes et décapiter des poules pour les "besoins" dramatiques de son chef-d'oeuvre. Bravo décidément. Et bien sûr, les critiques (français), dès qu'il s'agit de films français, sont à genoux, criant au génie. Vendus !

En plus, Lindon clope cigarette sur cigarette !!! Y a que le cinéma français pour laisser voir et montrer à l'écran sans aucun complexe l'addiction de ses acteurs. On se croirait dans les années 70's avec un écran enfumé du début jusqu'à la fin du film... A l'image de ce film et de son histoire qui s'évanouissent en fumée.

j'ai dormi pendant le film!! lol soporifique malgré que j'aime Freud!!

ça m'a l'air d'être une version française de "a dangerous method"

vu en projo: lourdingue! attention lindon est dans sa période film chiant

Très bon film que j'ai eu la chance de voir cet été au Festival International du Film de La Rochelle, je vous le recommande.

Alléchant ! enfin une bonne impression pour un film Français ! j'ai hâte !

vivement novembre 2012!je vais aller voir "Augustine".

putain heureusement que c'est Lindon, c'est mieux quand même!