Le Mur Invisible

Le Mur Invisible

COMMENTAIRES

note moyenne pour le chien qui tient la vedette.Pour le reste c'est bavard et soporifique comme un épisode de Derrick. L’héroïne accepte son sort..pas de tentative de résolution de son problème à part un tour du territoire cerné.le mur est-il un dôme ? le courant de la rivière n'est pas interrompu..on plonge ? le vol des oiseaux ! un vagabond qui a mis bien du temps à trouver ceux qui arpentaient le coin depuis des lustres..autant d’incohérences dont certains diront qu'elles sont secondaires mais alors,si c'est pour s'attacher à la psychologie du personnage,autant situer l'histoire sur une île !! Au lieu de cela,on utilise des mystères inexpliqués pour attiser la curiosité .
Pour ceux qui encensent le film en évoquant sa photographie ,ses magnifiques paysages et Bach..je dirais qu'on a pas besoin de ce prétexte pour écouter et apprécier Bach..pour le reste,il y a National géographic et Ushuaïa.

typiquement le genre de film qui me fait aimer le cinéma, cet OVNI aussi beau qu'un poème de Maria-Rilke, aussi fascinant que ses paysages alpins, sublimé par la musique de Bach, nous fait vivre avec autant de force que son unique actrice au centre de ce territoire délimité par ce mur invisible. Véritable métaphore, parcours initiatique rythmée par cette lente et longue voix off tout au long de ce long-métrage, jamais l'ennui ne gagne le spectateur, bercé par ce lancinant retour aux sources. Un film d'une grande force émotionnelle qui ravira les cinéphiles. Moment magique !

Un peu bavard, mais prenant, une photographie superbe, à voir...

J'ai lu ce livre deux fois à 10 ans d'intervalle et je comprends l'obsession du réalisateur pour ce roman ... je viens juste de découvrir, par hasard, qu'il était sorti dans les salles en mars dernier ... je suis navrée de l'avoir loupé !

"Passant doucement du fantastique au drame, le cinéaste s'interroge sur l'animalité de l'être humain. Film psychanalytique intelligent et fascinant, mais limité dans le temps." Teddy ★★★★★★★☆☆☆ | Lire la critique sur http://www.leblogducinema.c...

Le sujet est une anecdote qui tient sur un ticket de métro mais grâce à une mise en scène superbe et une interprétation de talent, le tout se laisse voir sans ennui ! Quant au sort de "Vendredi"...

J'aurais vraiment aimé défendre ce film, dont le début m'a beaucoup plu. Hélas, on s'ennuie ferme et le film s'épuise un peu jusqu'au final, décevant. Ma critique en googlant "Christoblog Le mur invisible"

un film d'une beauté visuelle et au propos existentiel profond, seul point faible les capacités étonnantes de cette citadine à s'adapter aussi rapidement à la rudesse de la nature comme si elle avait toujours fait ça!!!reste un beau film aux paysages sublimes...

le film doit tout à son scénario, qui donne clairement envie de lire le bouquin, que je n'ai encore jamais lu, donc je m'abstiendrai bien d'en parler. néanmoins, la mise en scène m'a semblé bien convenue, manquant sensiblement de cohérence, ou, pour le dire plus crument, dénuée d'intérêt cinématographique. sans vouloir tomber dans le cliché du cinéma d'auteur allemand contemporain, à la Heisenberg ou à la Haneke, je pense que ce film aurait grandement gagné à se radicaliser. ici, on se sent davantage voyeur que captif. je ne comprends pas réellement, par exemple, la plupart des plans tournés en-dehors de l'enceinte du "mur" : il aurait été plus logique de laisser le spectateur prisonnier avec le personnage, tout du moins au début. certains de ses plans "extérieurs", néanmoins, filment merveilleusement et cruellement bien l'impuissance de l'héroïne. la voix-off est plutôt plaisante, mais, quand bien même elle a annoncé le drame final, pourquoi insister autant, par la mise en scène, pour faire larmoyer le spectateur ? qui plus est, la bande-son est tout de même trop chargée : quand la voix-off s'arrête, la musique prend le relai... était-ce vraiment nécessaire ? en bref, pour moi, une mise en scène imparfaite mais modérément jouissive au service d'un scénario quasi-impeccable, ça reste une bonne expérience de cinéma.