Jauja

Jauja

COMMENTAIRES

est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer la fin du film ? donc la vieille dame dans la grotte c'est sa fille qui a vieilli ? Et ensuite on la retrouve dans le futur ? Je suis un peu comme son chien, il y a des choses que je ne comprends pas

un film passionnant mais qui traine en longueur.

Magnifique trip hallucinatoire, rêverie transcendante qui suit un corps perdu dans le désert avant de redistribuer les cartes lors des dix dernières minutes. Le film finit alors par créer un entrelacement mental et temporel aussi jubilatoire que vertigineux !

c'est très particulier! vraiment! je suis perplexe devant ce film, mais j ai jamais laché à un moment, il faut croire qu il fonctionne très bien! à voir !

Terriblement ennuyeux et prétentieux! On veut nous faire penser. Mais on meurt de lassitude rentrée! On est tellement content quand ça se termine! C'est chouette finalement! Ça permet d'apprécier encore plus les séries américaines bien ficelées. Sans complexes!

C'est la première fois que je m'endors au cinéma.

(...) Le réalisateur filme cette déambulation en procédant à des choix radicaux de mise en scène qui nous saisissent dès le premier plan. La palette colorimétrique nous renvoie immédiatement aux délires d’un Alejandro Jodorowsky et aux tubes de gouaches rouge vif utilisés dans les années 60 pour les giallo, westerns spaghetti et autres films de genre, lorsque l’on voulait montrer du sang. Le bleu, le rouge et le vert semblent fluorescents et se démarquent royalement au milieu de paysages à l’immensité réduite par un nouveau choix déstabilisant, l’utilisation d’un format carré en 1.33.

Esthétiquement, la beauté naturelle des décors, dont le rôle va être primordial, laisse plus souvent place à la frustration, s’avérant un frein considérable quant à l’immersion. D’autant plus regrettable pour un film qui invite la caméra, les personnages et le spectateur à se perdre dans une expérience temporelle rare, mais à la lenteur rebutante (...)

critique par LORIS - l'intégralité sur Le Blog du Cinéma

J'oubliais les plans interminables qui me donnaient envie d'appuyer sur la touche "avance rapide"...

Succession de tableaux vivants filmé en 4/3, voyage onirique, conte métaphysique????...en tout cas, ce film m'a semblé interminable et sans fil conducteur. Plus "strange" que "le guerrier silencieux" ou "Aguirre la colère des dieux" dont on pouvait apprécier les qualités à défaut de créer l'unanimité. C'est d'autant plus dommage qu'il y avait pourtant un bon sujet...

1,5/5

Je précise que j'aime beaucoup Viggo mais je n'ai pas du tout adhéré au vide intersidéral de ce film : il ne se passe rien, c'est mou, contemplatif. J'ai mis 1.5 car les images et les paysages sont sublimes, je le reconnais. Hélas, cela reste le seul point positif de Jauja.
Je déconseille ce film même avec Viggo, dommage.

Objet cinématographique très singulier, JAUJA entraîne Viggo Mortensen dans le désert argentin à travers une errance contemplative .... Notre avis : http://gowith-theblog.com/c...

J'aime bien la diversité des films similaires.

la fin du film est digne du grand Lelouche !

L'image du film est-elle en 4:3 avec les bords arrondis comme pour la
bande-annonce ? Si c'est le cas je trouve ça complètement idiot.

je veux le voir ausssi !!!!!! ^^

je veux le voir!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Le dernier tiers du film dans l'idée est vraiment génial. Et surtout la fin est très belle. Quel dommage que le réalisateur s'enferme dans des poses auteuristes (du genre, je fais entrer mon personnage dans le champ en arrière plan, et j'attends 1 min que celui-ci ait traversé tout le plan pour ressortir du champ), qui sont très répétées en plus.

Radical contre l'insomnie

" Tout le film joue sur cette perte de repère des personnages mais aussi des spectateurs. On ne sait pas très bien quand ni où se déroule l’action. Le héros est Danois mais parle en espagnol avec les autres membres de son équipage. On ne sait pas non plus ce qu’ils font là, mais eux-même ne le savent sûrement pas. Démunis de toute information, on ne peut que se reposer sur ce qu’on ressent : le bruit du vent sur la plaine, des cailloux écrasés, des sabots de cheval, d’un homme qui continue à marcher malgré la soif et la fatigue. Le film nous attrape et ne nous lâche plus, on sort du temps et on est totalement soumis à la beauté de la nature sauvage, de la lumière sur les collines pierreuses, de la nuit qui tombe sur un homme aussi perdu que nous. "

http://www.cinematraque.com...