Le Port de l'angoisse

Le Port de l'angoisse

COMMENTAIRES

Après l'immense chef d'oeuvre Casablanca, on reprend (presque) les mêmes et on recommence sauf que cette fois, ça ne prend pas autant que le film de Michael Curtiz. Ce n'est pas tant le réalisateur et les acteurs qui fautent mais plutôt l'intrigue qui est trop basique et qui rappelle beaucoup le film sus mentionné et qui n'apporte pas beaucoup d'angoisse (un comble vu le titre du film). 3.5/5.

Un film-culte, un film sur la séduction qui nous fait profiter de la magie Baccal/Bogart : un chef d'oeuvre immortel !

J'aime beaucoup Hemingway mais En avoir ou pas n'est guère un de mes préférés. En ce sens, je trouve que le film est supérieur au roman : dès le début l'histoire est rendue plus intéressante, par la mise en scène agréable de Hawks, et surtout par le charisme de ses protagonistes. Néanmoins il apparaît que le film souffre dans sa seconde moitié de la comparaison avec Casablanca, sorti sept ans plus tôt, dont on retrouve ici de nombreux éléments (ambiance, décors, personnages...) pas forcément présents dans le roman, et fatalement moins forts. On a ainsi une adaptation respectueuse, mais qui finit par desservir le récit original en le déviant vers le moule des productions noires à la Bogart. Un mal pour un bien, donc.

C'est vrai que le titre Français n'est pas forcément compréhensible, mais un très bon film, emmené par un couple charismatique et une excellente mise en scène ! Rappelant parfois Casablanca, il s'en démarque bien au final.

Bogart+ Bacall + Hawks. La grande classe sauf dans le titre français. To Have and to Have not (en avoir ou pas) baptisè stupidement en France par Le port de l'angoisse. Lorsqu'un film est adaptè d'un pays à un autre, il change souvent de titre, ce qui est parfois dommage...

un film merveilleux. Effectivement, BACALL et BOGART sont géniaux et l'histoire brillante. A voir à tout prix

Le mythique couple Bogart/Bacall réuni dans ce classique du film noir réalisé par le grand Hawks. La grande classe, quoi!