eXistenZ

eXistenZ

COMMENTAIRES

Une évocation du jeu de rôle aux airs de fantastique se mélangeant à une réalité improbable. Le premier évènement annonce une mise en scène déplorable qui va se confirmer au fil du métrage, sur un rythme lancinant. Tout est cheap, kitsch dont la doublure VF appuie une interprétation désastreuse.

J'adore Cronenberg mais ici, c'est pas possible. Absolument rien compris au délire et même si c'était le cas, je ne trouve pas ce film très bon sans être mauvais. C'est juste l'histoire qui ne me plait pas et le milieu dans lequel il évolue...
Et la vf de J.J. Leigh est agaçante..2/5.

je n'aime pas les films qui veulent nous expliquer ce qu'on voit, ou alors, trouver une explication à ce qu'on voit, quand l'idée du scénario est si forte et originale (à l'époque), que la réalisation s'en trouve appauvrie
(pas sûr que je sois compris sur cette affaire ...)

étonnamment, j'ai gardé le souvenir d'un film où le jeu virtuel nous emmenait dans des univers riches, des rebondissements ... eh bien non, les univers virtuels sont encore plus pauvres que la réalité, ça fait fade, et ne reste que l'idée originale
(ce n'est pas le tout d'exhiber un pod à tripoter !)

j'avais bien apprécié le film à l'époque,
là, j'ai trouvé ça tellement simpliste et réducteur ...

étonnamment, j'avais en tête une actrice, mais ce n'est pas celle-là
je reste surpris que c'est la même qui sera plus tard la géniale Daisy des 8 salopards !
et je ne voudrais pas vexer les fans de Jude Law, mais ..... ^^

Ça faisait 20 ans que je ne l'avais pas revu . J'en avais un très bon souvenir. Mais ça a très mal vieilli. Le doublage est catastrophique.

Vu en 2018... Pas mal mais malheureusement on en a bouffé de ce genre de films depuis, et des mieux.

Bon, après une deuxième vision d’eXistenZ, je redecouvre le film de Cronenberg et j’arrive a l'apprecier largement plus. Ce Cronenberg, nous offre comme dans Scanners ou Videodrome, un aspect totalement visionnaire et futuriste de l’avenir : Un monde totalement connecté grâce à des bioportes, et qui nous immerge totalement dans un monde virtuel.
Intéressant et créatif, d’autant plus qu’il est réputé pour avoir des prémonitions, et avait su anticiper le monde (Le nôtre) de la surmediatisation et du clonage. D’autant plus que nous en sommes pas si loin, avec les casques de réalités virtuelles Samsung. Un graphisme très particulier par son teint très nauséeux et clair, mais qui est parfaitement adapté puisque nous nous retrouvons de A à Z dans un jeu vidéo. Ce qui est également passionnant avec eXistenZ, c’est que, comme dans A history of violence, (film de Cronenberg qui sortira 6 ans plus tard) on a une sensation implacable et époustouflante de confusion entre fictif et réel. Un style et un suspense hors norme et incroyable. Un casting encore peu connu à l’époque, mais internationalement renommé aujourd’hui : Willem Dafoe, Jude Law, Jennifer Jason Leigh. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5

Bon, après une deuxième vision d’eXistenZ, je redecouvre le film de Cronenberg et j’arrive a l'apprecier largement plus. Ce Cronenberg, nous offre comme dans Scanners ou Videodrome, un aspect totalement visionnaire et futuriste de l’avenir : Un monde totalement connecté grâce à des bioportes, et qui nous immerge totalement dans un monde virtuel.
Intéressant et créatif, d’autant plus qu’il est réputé pour avoir des prémonitions, et avait su anticiper le monde (Le nôtre) de la surmediatisation et du clonage. D’autant plus que nous en sommes pas si loin, avec les casques de réalités virtuelles Samsung. Un graphisme très particulier par son teint très nauséeux et clair, mais qui est parfaitement adapté puisque nous nous retrouvons de A à Z dans un jeu vidéo. Ce qui est également passionnant avec eXistenZ, c’est que, comme dans A history of violence, (film de Cronenberg qui sortira 6 ans plus tard) on a une sensation implacable et époustouflante de confusion entre fictif et réel. Un style et un suspense hors norme et incroyable. Un casting encore peu connu à l’époque, mais internationalement renommé aujourd’hui : Willem Dafoe, Jude Law, Jennifer Jason Leigh. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 4/5

Et de deux... Après avoir perdu 1h30 de mon temps avec Alien Armageddon (que je recommande éventuellement en cas de gastro) je remets en jeu 1h30 de mon eXistenCe sans savoir qu'il fallait prendre son Pack 2.0 Kronenbourg (ce qui m'aurait certainement aidé à être dans l'ambiance du film).

J'ai un ressenti étrange vis à vis de ce film. A chaque fois que je le vois, je le trouve décevant. Pourtant, je ne peux pas m'empêcher de lui donner une nouvelle chance tous les 2 ou 3 ans comme si, un jour, j'allais finir par aimer... Surement parce que l'idée du film et le casting sont sympas sur le papier. Nouveau visionnage hier soir et malheureusement, ça ne sera toujours pas pour cette fois. Tout le film a l'air artificiel et bancal. Cronenberg raconte son histoire de façon brute et mécanique en oubliant d'y apporter une touche d'humanité qui nous relierait aux personnages. La scène finale verse dans la niaiserie et le cabotinage, ça devient limite embarrassant.

Excellent film. L'univers de Cronenberg au sommet de son délire. un basculement subtile entre virtuel et réel, un monde peuplé de créatures gluantes, un scénario fou et subtile où le jeu se mélange avec la vraie vie. Les acteurs sont beaux et bons. À voir!

Très decevant, l'histoire est peu interessante et le twist final assez moyen, je me suis un peu ennuyé
2/5

Le concept de départ est très bien exploité dans la première heure, avec un univers dérangeant et perturbant comme souvent chez Cronenberg, Jude Law et Jennifer Jason Leight ne déçoivent pas. Mais ça part en bordel dés la dernière demi-heure. Malgré cela très bon film.
4/5

Pas accroché du tout, ennuyeux et ennuyant dans l'ensemble, pour ma part la place de ce film est à la poubelle...

Un jeu vidéo relié directement à votre système nerveux ça vous dit ? Et bien c’est le concept d »eXistenZ ». Mais, autant vous prévenir tout de suite, c’est un film…comment dire…particulier.

Alors que la créatrice de ce jeu d’un nouveau genre, Allegra Geller, Présente son nouveau jeu « eXistenZ », un homme surgit pour l’assassiner. Heureusement, elle est sauvée par un jeune stagiaire (Jude Law), s’engage alors une course poursuite d’1h30 entre réalité et réalité virtuelle au cœur d’eXistenZ.

David Cronenberg signe ici un film dérangeant, glauque mais virtuose...

Pour la suite c'est par là ^^: http://geekocine.unblog.fr/...