La Chose d'un autre monde

La Chose d'un autre monde

COMMENTAIRES

Précision importante, le remake de cette version de 52 est celle de Matthis de 2011. La version de Carpenters la plus connue est la suite. Tous le monde fait la même erreur. Comme certains il me fallait de voir la première version cinématographique de the thing. Pour l'époque ça du être un grand film de SF et j'ai essayé de me mettre dans cette état mais difficile malheureusement de ne pas le comparer à la version de 2011. Cela m'a tout de même plus.

Un excellent film de science-fiction patrimonial à replacer dans son époque : https://justaword.fr/la-cho...

Pauvre remake de Carpenter , où on voit une pauvre bestiole dégoulinante se transformer en tout ce qui se trouve sur son chemin , c'est cette version qui est plutot risible et qui n'apporte rien de neuf .Alors oui, bien sûr , c'est en couleur, les effets spéciaux sont réussis ( quoi que par moment , c'est plutot limite ) les acteurs relativement impliqués , il y a tout simplement une trentaine d'années de différence !

Dans les années 50 peut etre que j'aurais trouvé ce film un peut mieux , mais pas de bol je suis née après ^^ , mais il fallait quand meme que je vois un jour l'original dont s'est inspiré Carpenter , et c'est une grande déception , c'est mal fait serte avec les moyens de l'époque mais quand meme difficile d'apprécier déja en noir et blanc , trucages a la noix, blablatages inutile .....
Film poussiéreux d'un autre age , peut etre fut-il un précurseur de ce genre mais je préfère l'oublié plus jamais 1 fois ma suffit .
Je préfères 1000 x l'adaptation de Carpenter qui est un bijoux a mes yeux .

Difficile de comprendre les avis positifs sur ce film insignifiant et désuet. Le grotesque y dispute au pitoyable. Lorsque survient la chose on a qu'une envie, qu'elle fasse taire à tout jamais cette grande gueule de journaliste, toujours là à l'ouvrir; 2 gugusses pendent soit disant au plafond égorgés comme des cochons que ce grand dadais y va de ses réflexions à la noix. Ils grelottent tous à moitié morts de froid que la jolie nana de service parle de mariage avec le capitaine, morceau choisie:"quand je serais en feu, j'espère que le capitaine viendra l'éteindre", et suivi par 2 compères badins:"le capitaine est toujours là pour rendre service...clein d'oeil...", le tout dans une ambiance bonne enfant, très boyscout...Ridicule...On prend fait et cause pour la chose en espérant qu'elle trucidera tout le monde sans exception, les boy scout, le professeur, le capitaine, la bonasse et surtout ce grand corniaud de journaliste...

Ce machin poussiéreux et bavard est effectivement à 1000 lieux du remake de J. Carpenter. A regarder éventuellement pour se faire un cycle complet, la nouvelle et les 3 films afin de comparer les mérites et les tares de chacun.

Ce film fut un des précurseurs de la grande SF cinématographique aujourd'hui. Il rivalise d'inventivité et de qualité de mise en scène avec des morceaux de bravoure comme "La guerre des mondes" de 1954, "Les survivants de l'infini" de 1955, "Les profanateurs de sépultures" de Siegel, etc... Le casting et les réalisateurs n'ont pas à rougir de leur travail, à l'époque, avec les moyens dont ils disposaient. "La chose" de Carpenter est un très grand film qui doit beaucoup à celui-ci alors que le dernier Remake de 2000, est une série d'effet spéciaux sans grand impact psychologique.

@gordonpym
Il faut replacer ce film dans son contexte, et donc tenir compte de la date de réalisation : 1951. Contrairement à la littérature le support "cinéma" a beaucoup évolué. On ne peut pas critiquer un film qui a plus de 60 ans comme on critique un film d'aujourd'hui. Ceci dit, je suis tout a fait d'accord "The Thing" de Carpenter est une vrai réussite, mais je ne suis pas sûr qu'un spectateur qui le découvrirait pour la première fois aujourd'hui ne trouverait pas que ça a mal vieilli.

Revu récemment sur TCM. Très déçu. Non seulement le film a très mal vieilli, mais en plus il n'a qu'un lointain rapport avec la nouvelle de Campbell Who goes there dont il prétend s'inspirer. L'aspect génétique qui pourtant constitue le nœud de l'intrigue originale est ici complètement occulté. Il ne reste qu'un banal alien végétal qui ferait rire une enfant de cinq ans. Les dialogues sont d'une platitudes affligeantes, particulièrement ceux du journaliste. On nous impose même une vague romance qui n'a strictement rien à faire là. En fait le seul point commun entre les deux histoires c'est de se passer dans une base polaire. A part ça rien à voir. Oubliez ce vieux navet et allez voir la Chose de Carpenter qui, bien plus qu’un vulgaire remake, reste la seule adaptation fidèle et réussie de Who goes there.

le meilleur de la saga. c'est surtout le film qui a donné envie a Carpenter de faire de l'horreur et son remake/hommage qui est aussi tres reussi.

3.5/5