Somewhere

Somewhere

COMMENTAIRES

J'ai bien aimé mai je ne sais pas vraiment pourquoi, la photographie est superbe, c'est très bien filmé.

C'est pathétique, consternant : même en le revoyant je ne suis pas plus séduit que la première fois, bien au contraire. Aucune imagination dans cette histoire à l' électroencéphalogramme plat ! Certains intellos verront peut-être dans ce navet des considération métaphysiques aussi intéressantes à développer que quand on regarde une mouche en train de se gratter le nombril ! C'est affligeant ! J'allais dire quel mérite d'avoir trouvé des producteurs pour financer cette stupidité : même pas : les financeurs s'appellent Coppola ! Seule chose méritée : le bide ! J'ai visionné cette diffusion en l'enregistrant sur la trois (RTBF) Je plains les belges qui ne sont pas plus gâtés que nous parfois sur la TNT ! Fuyez ! Somewhere mais fuyez !

Décidément, la vie des gens rendus riches et célèbres à et grâce à Hollywood n'est pas facile tous les jours. Non, c'est pas facile. On les plaint...
1/5

J'ajoute qu'il ne se passe pas tout à fait rien : dans ce tableau de la vie luxueuse d'un acteur de cinéma célèbre souffrant d'ennui pesant ressort un numéro de pole dance réalisé en duo à domicile, où il s'endort une première fois, et reste éveillé pour applaudir la deuxième ; on salue l'esprit d'entreprise des Ricains, et le professionnalisme de ces jeunes femmes qui m'ont épatée.

Par touches délicates, Sofia C. nous peint le portrait d'un beau gosse sympa s'occupant pour quelques heures de sa fille dont il se montre plus le copain que le parent ; ils passent du temps ensemble, ce qui leur arrive rarement, on le comprend à la fin, comme Sofia nous transmet le mal de vivre de cet acteur italo-américain errant d'endroits luxueux à son appart-hôtel où il s'ennuie à mort, quand il ne roule pas dans sa Ferrari. D'après ce que j'ai compris, il se libère de tout ça à la fin, d'où le sourire, pour aller... somewhere.

Comment être autorisé à faire un film avec rien quand on a un nom de famille puissant.

J'ai vu le film hier soir sur arte, j'ai scotché pour son coté sombre, mais je n'ai pas compris la moralité de l'histoire à la fin, un indice?

Me suis retrouvée devant ce film totalement par hasard. Je bloquais (positivement) dessus quand je me suis connectée à allociné pour en savoir plus. Ca m'a fait du bien de voir qu'il était de Sofia Coppola (comme quand j'ai su qu'Un ange à ma table était de Jane Campion) parce que pour moi ça veut dire que j'ai des goûts 'établis' (alors que pour pas mal de choses je n'ai aucun repère). Un peu de calme dans un monde de brutes, du 'vide' plein, tellement plein que je sens que je ne vais pas en dormir, une BO magique comme toujours avec que des titres que j'ai chez moi, de la douceur plein les yeux. Vous aurez compris que j'ai adoré, mais après, ce n'est pas donné à tout le monde de pouvoir apprécier.

J'ai trouvé ça ennuyant mais à aucun moment je me suis dis que je n'allais pas continuer à le regarder. Puis au final, je me suis attachée aux personnages et j'ai eu de la tristesse pour eux.

Somewhere est un film très beau, très esthétique accompagné d'une super BO et soutenu par deux acteurs brillants. L’histoire est assez inexistante et la fin est un peu ratée mais c’est un film que j’ai beaucoup aimé.

Avis complet sur le film ici : http://avenueducinema.byeth...

on dirait un film de famille.

C'est drôle ces avis de gens qui avouent aimer tout en disant que le film est totalement vide. Si intriguant que j'ai plus qu'à voir tous les Coppola désormais.

C'est marrant, la plupart des gens n'ont rien compris ce film : c'est marrant hein ? Bande de cakes...

Quelque chose de bizarre avec Coppola, on a envie de quitter la salle mais à un point, à un point ! Et au final, on reste et on se demande comment on a pu s'attacher un minimum aux personnages...
Ca reste du Coppola, c'était ennuyeux au possible mais je n'ai pas quitté la salle pour ça respect. 2/5

Les notations reflète parfaitement ce film. Chaque personne peut comprendre a sa manière ce film, selon son vécu et sa personnalité.
Perso j'ai adoré.

Trois fois d'affilé que Sofia Coppola (Marie Antoinette, Lost in Translation) nous pond un film où il ne se passe strictement rien, mais alors rien!! Et 3ème film que j'apprécie vraiment... Je n'arrive pas à l'expliquer. Elle est doué, ça c'est sûr. Et je dois être fasciné par le vide...

J'aime me faire chier comme ça. 3.25/5

J'en ai vu des films vides, mais alors celui-là ... Record battu !!!

Un très bon Sofia Coppola sur rien. C'est incroyable, immersif et beau. Pas le meilleur Sofia Coppola mais un très bon film.

que c'est nul!!
bcp de séquence inutile , on s’ennuie a mourir
ça ne marche pas a tout les coup

au ciné j'ai trouvé pas super voir bien chiant.
mais depuis j'ai du le voir 5 ou 6 fois à la tv et je dois bien reconnaître que je trouve ça de mieux en mieux.
Donc conclujionne?
et bien: rien.

Sympatoch.

un film qui ne dit rien mais qui le dit très bien.

Ce film n'a pas la poésie ni la "saveur" de "Virgin Suicid". Vie sulfureuse ??? Où ça ? Partie sans A priori, sans aucune idée du synopsis, ou de la bande-annonce, j'ai cherché l'intérêt du film tout au long de la projection.

super déçue >< à mourir d'ennui , j'ai perdu 1h37m48s de ma courte vie , ce film est totalement nul .FUIEZ!!!!!!!!!!!!

D'un ennui sévère de part sa monotonie (volontaire), en plus que notre acteur s'ennuie, il provoque les bâillements de ces spectateurs. Dorff et surtout Elle Fanning (de la même trempe que sa soeur Dakota) n'arrivent pas à relever, au moins l'intensité, de ce film. Plus d'1h30 résumant la solitude et l'ennui d'un père à qui tout s'offre et peut s'offrir mais qui reste seul dans ce monde de "paraître" ! même sa fille. Un "limite" avant propos qui aurait juste nécessité 20mn de pellicule et entrer ensuite dans le sujet. Ici, S. Coppola (qui pourtant fait du précis et du bon : "Marie-Antoinette", "Lost in translation", on excusera "Virgin Suicide") s’emmêle les méninges pour mettre à l'écran ce thème en se focalisant uniquement sur les scènes lentes, les silences, les no man's land. Bref, pas un navet mais pas terrible non plus. A éviter 1.5/5 !!!

c'est une autre manière de faire du cinéma , bon film !!!

Je tiens un site où je fais beaucoup de critiques de films que je vais voir au cinéma où que je regarde en dvd , si vous êtes tentez , venez le visitez :)

http://cine-cine-filmsvus.s...

Bof, j'me suis bien ennuyée.

'Somewhere' est un bon film, mais je suis beaucoup déçu car ça ne vaut pas 'Marie-Antoinette' (son meilleur film à mes yeux), 'Lost in Translation' ou encore 'Virgin suicides'... en clair, c'est son plus mauvais film (mais ça reste quand même bon) !! Certes, les acteurs sont bons, la réalisation est soignée et s'embellit encore plus grâce à une belle photographie et de beaux décors... mais le film est un peu trop monotone je trouve, je me suis ennuyé du début à la fin. Les autres films de la réalisatrice avait eux aussi un rythme lent, mais ils étaient beaucoup plus passionnants et efficaces !!

Un film sur l'ennui et la vacuité, pourquoi pas, mais c'est assez pénible par moments, et c'est dur de nous faire croire à une vie pénible quand les seuls problèmes sont liés à l'égo. J'ai beaucoup aimé "Virgin suicides" mais là, j'accroche pas.

Somewhere, plus que d'être la vraie vie, c'est une étude de la condition de la star. Une étude de l'ennuie et finalement des hommes qui peuvent se cacher derrière les images. Que ce soit à travers l'ambiance visuelle et sonore, cette sensation de lenteur et d'ennui transparait. Les personnages, pendant la grande majorité du film sont amorphes, sourires forcés, actions répétitives... Jusqu'à ce qu'ils craquent, les deux, et qu'ils révèlent leurs peines. Le rôle de la voiture est d'ailleurs très symbolique, le fait de tourner en rond est imagé dès le début du long-métrage. La voiture représente la liberté pour sa fonction, mais dans le film elle se dévoile plus comme une prison, un enfermement dans la boucle interminable de la vie.

Nul.

carrément la vraie vie, moi aussi je quand je m"emmerde je fais des tours de ferrari comme un cake sur un circuit et j'embauche des stripteaseuses comme marchands de sable...

somewhere c'est la vraie vie ... c'est la meilleur de l'année celle-là!

black swan est un bon hommage aux serie B et Z mais pas un film qui gagne des prix d'ailleurs il en a gagné aucun ni a venise, ni au oscar.

flexou contente toi de transformers la prochaine fois, somewhere c la vra vie !

je me suis ennuyé du début à la fin. quand tu penses que ce film a reçu le lion d'or au festival de Venise face à Black Swan, Balada Triste ou Miral, tu te dis que y a vraiment un souci (a savoir que le president du jury n'était autre que Quentin Tarantino, l'ex de Sofia Coppola).

Sofia Coppola arrive à la perfection à décrire un personnage qui s'ennuie. Je viens donc de passer une après-midi de mois d'aout à regarder quelqu'un qui s'ennuie et je me suis ENNUYÉ COMME UN RAT MORT

de long plan sequence ....une mise en scéne faite pour bien s impregner..on s impregne bien ça oui..mais c est trop long...cela reste un bon film dramatique sur la dure vie que ménent les stars d hollywwod..on ne les envie pas !
...passez votre chemin si vous voulez de l action...

Somewhere, où le nombrilisme à l'état pur. Sofia Coppola nous dévoile sa vacuité d'enfant de star n'ayant pas su grandir, lentement mais surement.

Un film détestable, où le spectateur doit prendre pitié de la pauvre vie menée par les géants d'Hollywood, où l'Italie n'est qu'un champ de bombes en plastique et où les enfants de 13 ans sont des génies jouant le rôle de parent.

Un démontage en règle ici: http://minilien.fr/a0l741

Question : provoquer l'ennui chez le spectateur pour lui faire saisir la vacuité de la trajectoire de son héros est-il l'empreinte d'un film abouti ?...
Réponse : non. Easy business but lazy success.
Même Microcosmos parvient davantage à capter les stades d'évolution d'une larve. Un quotidien désespérément désoeuvré et futile, certes retranscrit dans sa plus simple expression, mais cruellement orphelin de transcendance.
Une oeuvre qui plaira au microscome des critiques mondains.
Tiède, mou, lent.

terriblement ennuiyeux !!

ce film est bien mais un peu trop long au bout du temps

Dommage que certaines scènes soient si longues, je trouve que le thème du film était intéressant, et qu'il n'a pas été très bien exploité. J'attendais mieux de la réalisatrice dont les trois derniers films étaient très bons.
Un film néanmoins plaisant à regarder, sans plus.

Je l'ai vu hier soir et je suis un peu mitigé. Je me suis pas du tout ennuyé, quand on sait à quoi s'attendre on arrive à apprécier le caractère simple et dénudé du film. En tout cas j'ai adoré l'histoire ! Ce qui m'a déçu c'est que la mise en scène est par moment franchement paresseuse (la scène du patinage... cadrages centrés, plan/contre-plan ultra bateau), alors que pour moi jusqu'à présent c'était le point fort des films de Coppola. Et puis j'aurais aimé en tirer un peu plus de la relation père/fille, la fin un peu maladroite, etc.. Bref, un film pas parfait mais qui mérite pas ce déchaînement de critiques, surtout de la part des adeptes de Coppola

C'est un film... intelligent. mais en même temps, simple, donc difficile de ce mettre d'accord sur sa qualités ! il montre le quotidien intime d'un people, routinié, sulfureux, manipulé, sans naturel ni sincérité... je le répète, ce film est simple. il n'est pas facile de nos jours de faire du cinéma SIMPLE, SURTOUT QUAND ON EST UN RÉALISATEUR QUI À DES MOYENS, la simplicité est perçu comme du laissé allé. de la paresse, un excès de confiance. c'est triste!!! somewere n'est pas le chef d'œuvre de l'année, mais il est mignon, frais, lent et très doux.