The Double

The Double

COMMENTAIRES

Je n'ai malheureusement pas accroché, pourtant l'idée de base me semblait géniale, mais je n'ai pas réussi à me plonger dans cet univers peut être trop morne et gris à mon goût, et qui manque cruellement de rythme.
2,5/5

Moins bien que enemy mais se laisse regardé. 3,5/5

Film sombre et plutôt triste. Simon est un garçon intelligent, un timide maladroit presque trop gentil et poli; ce qui hélas le rend invisible aux yeux de tous. Personne ne le remarque, sa vie est monotone. Il a le même visage que son nouveau collègue James, qui lui sait se faire apprécier des autres, et plait aux filles. Simon constate que c'est son double, pourtant menteur, tricheur, et moins productif au sein de son entreprise, qui non seulement réussit là où il échoue, mais bénéficie aussi de toutes les louanges... L'ambiance est oppressante, Jesse Eisenberg joue bien, cependant le film est si complexe et ambitieux qu'il laisse place à l'ennui et à l'incompréhension. Ce qui est dommage parce The Double pose de bonnes questions sur la personnalité et son impact, l'image que l'on renvoie aux autres, la confiance en soi. Vraiment, Richard Ayoade est un réalisateur intéressant qu'il faut suivre.

Film atypique par bien des aspects. Si l'interprétation d'Eisenberg est bluffante, que dire de Mia Wasikowska qui me conforte là dans l'idée que je me fais d'elle : elle est l'actrice la plus douée de la nouvelle génération. Au delà de ce duo d'acteur parfait, le film m'a laissé pantois.
Son stylisme exacerbé en fait un objet arty, certes, mais cette ambiance opressante, les décors assez artificiels empêche la montée en puissance du film. En effet, l'arrivée du double paraît normale dans ce monde qui n'a rien de réel, où tout semble factice. Même si la fin réhausse le niveau du film, il aurait été plus intéressant d'ancrer le film dans une réalité simpliste et de créer un basculement via le double.

Le synopsys est quasi identique à "Enemy" (que j'ai beaucoup aimé).. J'hésite à regarder celui-par par peur d'avoir l'impression de regarder le même film

Comment ne pas aimer ? Ce film est génial. 4/5

Un film très étrange. Un gros bordel scénaristique.
C'est ce qui fait la force de ce film.
(Dans l'esprit de Shutter Island niveau complexité)
3/5

L'ambiance miséreuse remplie de pessimisme et de désarroi est très réussie, cependant je me suis ennuyée, ..enfin ...endormie ......

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre avant de le visionner, et j'ai tenu 45 minutes... Jesse Eisenberg est vraiment talentueux, mais n'ayant jamais adhéré aux films décalés, je n'ai pas pu tenir plus longtemps. Cela n'enlève en rien à l'ambiance ultra-particulière du film, et à son image travaillée.

Le réalisateur a réussi son coup, un univers dystopique des plus obscures , qui nous fait comprendre ce qu'est la solitude et la détresse totale, jesse heisenberg très bon dans les deux rôles, rien à dire sur la mise en scène, et pourtant à la fin du film je suis au bout du rouleau (c'est le but vous me dirais) et par conséquent je n'est pas passé un bon moment, donc si je devait donner une note objective ça serai un 4/5, et si je met une note subjective ça serai plus un 1/5

Un sous-Fight Club à l’univers Brazilo-Lynchesque bourré de bonnes idées trop souvent mal exploitées avec des ficelles d’une prévisibilité assez déconcertante, l’ambiance kafkaïenne et l’esthétisme sauvent cependant le fond du film. Enfin rien de vraiment intéressant dans ce long métrage qu’on oublie aussitôt. 2,5/5

amazon a mis à jour ses infos concernant le DVD qui sort ce 14 janvier : il y aurait bien la VOST...

en voyant que c'est inspiré d'une oeuvre de Dostoïevski, je comprends mieux pourquoi j'ai rien compris à ce film si mystérieux et très beau esthétiquement, en mode 80s. je m'abstiendrai de donner une note car ce film est à classer parmi les bizarreries du cinéma.

un bon film sombre avec son ambiance spéciale mais avec une fin difficile a comprendre.(en tout cas j'ai pas compris).

(...) Emmené par Jesse Eisenberg (la star de The Social Network) et Mia Wasikowska (superbe dans Stoker et Maps to the Stars), il apparaît bien difficile dès les premières minutes de ne pas faire le rapprochement avec un autre film : l’univers dans lequel nous sommes plongés dès l’ouverture et surtout le lieu de travail de Simon semblent être un copier-coller de ceux de la fable déjantée de Terry Gilliam, Brazil.

Divers éléments absurdes placés ici et là nous font sourire car Simon est un looser qui subit toutes les désagréables contrariétés du quotidien qui, mises bout à bout nous énerveraient rapidement. Blasé, il ne bronche jamais et subit, impuissant. Il est également entouré de personnages au comportement étrange qui ne le reconnaissent jamais.

Rapidement, on envoie un deuxième signal au spectateur lorsqu’en rentrant chez lui, Simon espionne sa voisine et collègue de travail Hannah à la longue-vue. Nous sommes donc passés chez Hitchcock et son Fenêtre sur Cour, sans oublier que l’ensemble, de par certains rebondissements et situations rappelle étrangement Le Locataire de Roman Polanski.

Ces références balancées en aussi peu de temps semblent si évidentes qu’on ne peut pas croire que le film de Ayoade soit aussi dénué de personnalité…

La réponse est pas tant que ça.

Il faut donc saluer le travail de Erik Wilson, le directeur photo qui sature les teintes de bleu, d’orange et de rouge au milieu de cet univers grisâtre et sombre, qui semble toujours chaud et accueillant mais aussi fictif et instable.

Le travail effectué autour du design sonore est à souligner également tant les divers sons reflètent l’état d’esprit dans lequel se trouve Simon à tel ou tel moment.

Visuellement attrayant, le film nous dévoile ses enjeux lorsque apparaît finalement le double de Simon : charismatique, efficace et séduisant tout ce qui bouge, James est tout ce que n’est pas Simon.

Déjà transparent avant son arrivée, il menace de prendre sa place et de le faire définitivement disparaître. Or, ne sommes nous-mêmes pas en droit de nous faire entendre, d’avoir nos propres opinions dans cette société, d’exister dans ce monde et nous faire reconnaître à notre juste valeur ? (...)

Retrouvez l'intégralité de notre critique sur Le Blog du Cinéma

une très bonne technique de cinéma, de bons acteurs, une bonne BO, tout ça au service d'un scénario trop intello pour m'être comprehensible

2.5: Moyen
Richard Ayoade fait son fight club, le résultat est pas forcement à la hauteur des attentes.
L'univers est soigné, on se sent oppressé dans ce contexte post industriel, l'environnement est sale et sombre, tout le monde se dévisage mais personne ne se parle.
La solitude et la détresse du personnage joué par Jesse Eisenberg sont parfaitement retranscrits. Il est méprisé par tous, dans ses interactions, il fait ressortir toute la médisance des autres. Il est le bouc émissaire.
Son double, lui, est charismatique, brillant, sûr de lui. Les femmes veulent être avec lui, les hommes l'admire, blabla on connait la chanson.
Son quotidien est constamment mis en contraste avec celui de son double, il passe son temps à se comparer, envier son alter ego. Plus le film avance et plus on a envie de baffer Eisenberg tant la mise en scène fait dans le misérabilisme.
Si vous êtes emplis d'espoir et d'empathie, The Double va s'empresser de vous débarrasser de ce genre de sentiments inutiles. On finit par se désintéresser du sort du héros, je ne sais pas si c'est l'effet espéré par Ayoade, le fait est que c'est très perturbant.
Passé un moment, on s'ennuie ferme. La fin ne vous surprendra pas si vous avez déjà vu Fight Club (et tant d'autres). On en ressort dérouté voire déprimé (pour ma part). Je ne conseillerais pas ce film bien que son ambiance a quelque chose d'unique.
Conclusion: Si vous êtes le genre de personne à aimer la vie, à sourire aux gens, à vous émerveiller des petites choses du quotidien, le genre à traverser votre existence en inspirant bonheur et confiance à ceux qui vous entoure... Regardez ce film, ça vous calmera pour quelques heures.
Ayoade a commencé par me faire rire aux larmes dans the I.T Crowd. Les rires s’effacent, reste une maîtrise et un génie incroyable pour un si jeune réalisateur. A suivre.

Mis à part l'univers original, l'ambiance étrange et Mia Wasikowska qui comme d'habitude est fascinante il n'y a rien qui ressort de ce film la faute à une sensation de déjà vu car le thème a été exploité bon nombres de fois et ici il n'y a aucune originalité dans le traitement et seul le cadre le différencie des autres puis dans le fond c'est même débile avec les deux personnes qui se ressemblent pourtant ça ne semble choquer personne même si ça fait aussi parti de cet univers un peu loufoque mais bon le film ne m'a pas du tout convaincu. 2/5

En DVD zone 2 le 14 janvier 2015... uniquement en VF : une honte. Pour rappel, l'édition zone 1 par Magnolia comporte, elle, la VOST... à 10€ en import.

Sorte de fils bâtard de Brazil, The Double constitue une très bonne surprise qui aborde de façon inattendue la thématique du double grâce à son univers dystopique dérangeant et au talent insolent de Jesse Eisenberg.
Une curiosité à découvrir.

http://justaword.eklablog.c...

Drôle, malin et (étonnamment) émouvant, "The Double" fait passer un bon moment.
Critique complète : http://mtx-os.blogspot.fr/2...

Très bon film! Un beau moment passé au cinéma ;)

Très étrange comme film, une ambiance pesante, étouffante presque... un univers clairement inspiré et plutôt bien exploité, mais ça va pas plaire à grand monde je pense, tellement space...

Jesse Eisenberg délivre une performance incroyable dans ce film drôle, émouvant, sophistiqué mais surtout captivant... Le genre de film qui nous réconcilie avec le cinéma. Venez découvrir ma critique dans son intégralité sur mon site ScreenReview : http://bit.ly/1n3t6aL

"The Double," un film magnifique ! Pour une analyse détaillée en avant-première: http://marlasmovies.blogspo...

Belle réalisation, excellent Jesse Elsemberg, je n'est pas lu Dostoievsky,mais quoi qu'il en soit ce film m'a insupporté: du kafka (je déteste), des idées type Terry gilliam période 1984 (je déteste), un sens du non sens Lynchien,(ça m’ennuie) ,de l'absurde à la pelle, du pseudo intello pour masochistes. Les quelques belles scènes (il y en a) ne changent pas le fait que j'ai détesté et si j'avais d'écrire une bonne critique ce serait la copie en négatif de celle de Blaste que je viens de lire, très bien faite d'ailleurs.

Cela sent la complexité sublime.

Une maîtrise absolue, évidemment (on le voyait dans la bande-annonce), qu'on pourrait situer entre les frères Coen des 90s et Wes Anderson, avec, en plus, une adéquation et une complémentarité fascinantes entre la forme et le fond, la mise en scène et les cadrages nourrissent le scénario. Et je trouve que la BO d'Andrew Hewitt est mieux utilisée que dans Submarine (dont la BO reposait beaucoup plus sur les chansons d'Alex Turner, en même temps...), même si on pourrait regretter l'absence de moments plus apaisés, bien que ça fasse partie intégrante de ce style postmoderne de fourmillement. L'interaction décors / lumière est aussi assez intéressante, donne un aspect vachement pictural aux images, faisant ressortir les personnages par rapport à l'arrière-plan, et surtout améliorant l'équilibre humour / angoisse qui était pour moi le défaut majeur du premier long narratif de Ayoade.

Je viens de découvrir qu'en plus d'être un réalisateur prometteur, Richard Ayoade est un comédien hilarant. La série the IT crowd est vraiment marrante. Je suis content de l'avoir découvert le Richard.

J'ai bien aimé le perso et la mise en scène, par contre j'espérais voir un alter ego encore plus machiavélique qui fasse changer un peu plus de registre à Eisenberg, dans la perspective de son interprétation de Lex (qu'est-ce que vous voulez, je ne perds pas MON nord).

J'espère qu'il sera mieux que Enemy... 1h33, ça m'a l'air bien cours pour un sujet pareil!

Regardez aussi du côté de "Ennemy" avec Jack Gyllenhaal qui sort prochainement, ça y ressemble !

Ça à l'air chelou quand même ! Mais rien que pour Jesse Eisenberg j'irai le voir ! Il choisit bien ses rôles ce mec

Sniff sniff.. mmmmmmh ça sent le culte ici !

Il choisit assez bien ses rôles quand même ce Jesse !
Il aurait pu rester cantonné tout sa vie aux grosses comédies américaines dans lesquelles il jouait beaucoup.

ça a l'air plus sombre que Submarine, qui à mon sens avait raté sa vocation de comédie, le teaser m'intrigue beaucoup, j'ai hâte d'en voir plus, Ayoade m'avait tellement épaté avec ses travaux de clips et de captation de concert.