Ludwig ou le crépuscule des Dieux

Ludwig ou le crépuscule des Dieux

COMMENTAIRES

L'image est sombre et le film est très très lent et plat ! Je me suis perdue plusieurs fois à cause du désintérêt. J'aime pourtant les biographies !
3/5

Dans ce film étonnant, Visconti explore, derrière le faste des costumes et des chateaux, un sujet qui l'a beaucoup occupé à la fin de sa vie : la place de l'artiste dans la société. Ludwig est un artiste, au sens du terme que lui donnait Thomas Mann dans ses oeuvres de jeunesse, c’est à dire un homme complètement submergé par son extrême sensibilité au monde. Déphasé, il ne veut pas vivre avec son temps, ce qui inscrit le film dans une certaine filiation avec Le Guépard (à ceci près que le Prince Salina du Guépard était lucide et maitre de lui-même ce qui n'est pas le cas de Ludwig). Voir ma critique complète sur mon blog : https://newstrum.wordpress....

Ennuyeux...Long...Pompeux...Pas un chef d'oeuvre en somme !! Je n'ai pas réussi à accrocher du tout et quand c'est comme ça 4h c'est long, très long !! Un enfer... Le film n'est pas mauvais mais là c'est un peu trop !! Exaspérant !

A voir

Je n’ajouterai rien aux commentaires des autres spectateurs. Le film est splendide.
Mais quelque chose me chiffonne, la langue du film. D’après ce que j’ai appris sur les forums des passionnés de cinéma, Visconti a tourné en allemand quand il n’y avait que des acteurs allemands en scène, en anglais lorsqu’il y avait Trevor Howard (Wagner qui parle anglais !!), probablement en italien pour d’autres.
Le film que j’ai vu à sa sortie en salle était en anglais. Etait-ce le projet de Visconti, était-ce une version imposée par la production, je ne sais pas mais ça passait à peu près.
Je me suis jeté sur le DVD sorti récemment en France (20 octobre 2009). Quelle déception ! On n’y propose que la VF pour francophones analphabètes ou le doublage en italien (pitoyable) que des amis de Visconti ont fait réaliser après avoir racheté le film après la mort du Maître. C’est nul. Je hais les doublages.
Le même problème existe pour d’autres films : Le guépard du même Visconti, Aguirre et Fitzcarraldo de Herzog par exemple.

Restent la puissance de l’image et de la mise en scène. Alors je regarde le film quand même …